Réputé pour sa chaleur et apprécié des consommateurs, le duvet suscite depuis longtemps l’intérêt des entreprises à travers le monde. Si le duvet apporte aux humains le confort nécessaire en hiver (couette naturelle, manteau, sac de couchage…), une question demeure : les ambitions productivistes des entreprises sont-elles contraire à leur devoir de protection animale ? Les exemples récents tirés de l’actualité semblent en effet nous montrer qu’un choix est fait entre la volonté de produire plus et le non respect des règles de protection animale.

Productivité  ou protection animale : faut-il choisir ?

Le duvet d’oie : que stipule la loi ?

Les plumes et les duvets d’oie sont concernés par différentes règlementations qui s’appliquent aussi bien aux activités de productions initiales qu’aux produits élaborés à partir de plumes.

La norme européenne NF EN 934 stipule que les produits à base de plumes (ex: le traversin ou la couette en duvet d’oie) doivent énoncer la masse des composants par ordre croissant sur l’étiquetage.

Le décret 200-164 du 23 février 2000 précise quant à lui les règles relatives à la sécurité de certains articles de literie comme la non-allumabilité, l’état microbiologique des plumes, la propreté.

Des engagements encourageants

La société Dumas, spécialisée dans la fabrication de surmatelas, de couettes et d’oreillers naturels Dumas, s’engage pour le respect du bien-être animal. La marque garantie ainsi une confection des produits réalisée sans avoir eu recours au plumage à vif (arrachage de plumes sur les oies encore vivantes et sans anesthésie).

Dans un autre registre, la marque Melvita s’engage contre l’expérimentation animale. Elle garantie ainsi la commercialisation de produits cosmétiques qui n’ont pas fait l’objet de tests sur les animaux.

Ces deux exemples confirment qu’il ne doit pas y avoir de choix fait entre la production et le respect des animaux.

Retrouvez tous les engagements de Dumas sur www.dumas-paris.fr